Cyrille Mourton, membre du comité directeur et dirigeant M18 du PUC Rugby
D’où viens-tu ? Je suis originaire de Villosanges, un petit village du Puy-de-Dôme.
Quel âge as-tu et quand est-ce que tu as commencé le rugby ? J’ai 48 ans. Jamais…
Quand et comment es-tu rentré dans le monde du rugby ? Ayant grandi dans une culture football, j’ai naturellement joué au foot durant ma jeunesse auvergnate, mais j’ai toujours aimé le rugby. Avec mes 3 enfants licenciés au PUC Rugby, j’ai eu l’occasion de me rattraper !
Quand es-tu arrivé au PUC ? Et qu’y as-tu fait ? En 2009 quand Garrice est entré en M6. Encouragé par Françoise Dupuy, j’ai très vite endossé le rôle de dirigeant 2004, génération que j’ai suivie et que j’accompagne encore aujourd’hui. Plus récemment j’ai intégré le comité directeur grâce auquel j’ai maintenant une vision plus globale. Je peux mesurer la difficulté et le mérite pour un club comme le nôtre d’évoluer à Paris.
Quel joueur te fait lever de ton canapé ? Une percussion de Brandon, un départ au ras de Charly, une double-sauté de Steve, une prise de balle en touche de Léo ou une relance de Flavien. On devrait installer des canapés à la Cipale.
Quel est ton attachement pour le PUC Rugby ? Quand je suis arrivé il y a 13 ans, j’étais loin de m’imaginer la place que ce club allait prendre dans ma vie. Quand on a 3 enfants Pucistes avec plusieurs entraînements en semaine et match le samedi, on passe beaucoup de temps au bord du pré, et par conséquent on rencontre beaucoup de monde. J’ai pu ainsi tisser au fil des années des amitiés très fortes en dehors du terrain, que ce soit avec des dirigeants, des entraîneurs, des parents ou des joueurs.
Une anecdote à nous raconter ? Le retour en train du stage de Soustons et notre arrivée avec 7 heures de retard après une panne de locomotive en pleine Beauce. Des heures dans le noir, sans clim avec 85 enfants dont une dizaine avait la gastro, le transbordement de tout ce petit monde en pleine nuit, les dizaines d’allers-retours pour faire suivre les bagages et l’arrivée à Paris à 5h30 du matin. Épique ! Pas marrant, mais épique !
Quel est ton meilleur souvenir avec le PUC Rugby ? L’aventure 2004. La fierté d’avoir vu évoluer ces garçons qui avaient 5 ans pour certains et qui en ont 18 aujourd’hui, les tournois en province et à l’étranger, les stages et surtout la rencontre de mes copains dirigeants et éducateurs. Je n’ai que de bons souvenirs.
Quelles sont tes passions en dehors du rugby ? Les blind-tests, Lidl, l’alcool et les femmes.
Si tu devais résumer le PUC Rugby en un seul mot ? Convivialité
Un petit mot pour finir ? Dans quelques semaines, cette parenthèse enchantée va se refermer pour moi mais j’ai appris au cours de toutes ces années que « Puciste un jour, Puciste toujours » n’est pas qu’un slogan, c’est bien une réalité.
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