Patrick Eyer, Dirigeant senior du PUC Rugby
D’où viens-tu ?
Je suis né à Paris 14e et j’habite à Gentilly depuis 1968 ?
Quel âge as-tu et quand est-ce que tu as commencé le rugby ?
J’ai joué dans un petit club qui n’existe plus aujourd’hui. Dans le monde du rugby je me suis surtout consacré à la carrière de mon fils et à la vie de club du PUC Rugby.
Quand es-tu arrivé au PUC ? Et qu’y as-tu fait ?
J’y suis arrivé en 1995 pour y inscrire mon fils et j’y suis resté jusqu’à aujourd’hui. J’ai commencé ma carrière de dirigeant en 1997. J’ai accompagné quasiment toutes les catégories : benjamins, minimes, cadets, juniors et seniors. Cette année j’ai encore ma licence de dirigeant mais je m’occupe exclusivement de la rubrique du midol pour les seniors.
A quel poste as-tu toujours rêvé de jouer ?
J’étais deuxième ligne et je m’y plaisais.
Quel joueur te fait lever de ton canapé ?
J’adorais regarder jouer Christian Carrere (troisième ligne), Jean-Pierre Rives et Christophe Dominici.
Je garde également un œil sur Antoine Burban et Wesley Fofana, joueurs passés par le PUC Rugby.
Quel est ton attachement pour le PUC Rugby ?
J’y suis depuis 1995 et j’ai toujours été un acharné du PUC Rugby, fidèle à la violette.
Une anecdote à nous raconter ?
Un jour, alors que j’étais dirigeant du groupe senior, j’ai assisté à une discussion de vestiaire. Vincent Moscato a demandé à Fofana d’où il sortait car cela faisait deux semaines qu’on ne l’avait pas vu. Il pensait qu’il avait eu des problèmes avec la justice…
Quel est ton meilleur souvenir avec le PUC Rugby ?
Le titre de Champion de France en 2003-2004 en finale contre Gourdon. A l’époque, on avait un demi d’ouverture qui s’appelle Cory Brown qui rentrait tous les points au pied. Nous avions aussi récupéré l’entraîneur de mon fils, qui, à l’époque en Crabos, jouait au poste de demi de mêlée.
Quelles sont tes passions en dehors du rugby ?
C’est le sport en général. Je regarde le Tour de France et un peu de football. J’ai suivi les équipes masculines et féminines de handball et de volley aux derniers J.O.
Un petit mot pour finir ?
Depuis mon arrivée au PUC j’ai passé des agréables moments et je garde toujours de bonnes relations avec les entraîneurs, les joueurs et les dirigeants.