Interview d’Arthur Gomes, ancien joueur senior
D’où viens-tu et quel âge as-tu ?
Merci pour cet interview, je viens de Montmorency et j’ai 53 ans. J’ai toujours vécu en région parisienne et aujourd’hui j’habite à Domont.
Que fais-tu dans la vie ?
De la promotion immobilière au niveau d’appartements collectifs.
Comment es-tu entré dans le monde du rugby ?
De rencontres, en hasards de vie.
Je suis originaire du Portugal. Je suis arrivé à l’âge de 5 ans en région parisienne et je me suis tourné vers le rugby grâce à des amis qui m’ont fait découvrir ce sport.
Quand es-tu arrivé au PUC ?
Je suis arrivé au PUC en junior 3e année. Arrivé au club grâce Michel Rebeyrotte. Je devais avoir 19 ou 20 ans et suis resté au PUC jusqu’en 1997 et je suis ensuite parti jouer au Stade Français.
Je jouais à l’arrière ou à l’aile.
Peux-tu nous résumer ton histoire avec le club en quelques lignes ?
Je dirais que l’ADN du club et ses valeurs m’ont plu. On avait comme philosophie de jouer énormément au ballon et cela me plaisait.
Ce qui me restera toujours en travers de la gorge c’est de n’avoir pas pu jouer en première division et de ne pas avoir réussi à tenir les engagements que l’on s’était fixés malgré le passage de supers mecs comme Herrero ou Aucagne.
Ça a très bien matché de mon côté avec le PUC que ce soit sportivement ou humainement.
Aurais-tu une anecdote à nous raconter ?
Il y en a eu pas mal (rires).
Celle qui me revient c’est l’époque où le stade Charléty avait été démoli pour être reconstruit. On avait improvisé une séance photos où l’on était monté sur une pelleteuse. Il y a eu la photo officielle ,en tenue du club. On a ensuite décidé de poser nus, de dos, sur la pelleteuse en plein milieu du stade. À l’époque on avait tendance à se dénuder souvent…
C’est d’ailleurs une habitude que j’ai retrouvé au Stade Français (rires).
As-tu des passions en dehors du rugby ?
Je me suis pris de passion pour le golf. Ces dernières années, ce sport m’a « aidé » à me challenger et il a pris la place du rugby. C’est un sport que l’on peut pratiquer plus tardivement car il est moins traumatisant pour le corps.
Si tu devais résumer le club en un seul mot ?
Liberté.
On était libre de faire un peu ce qu’on voulait sur le terrain et en dehors.
Un petit mot pour finir ?
J’en ai beaucoup. Le PUC m’a apporté beaucoup de belles choses. J’ai rencontré énormément de joueurs, d’entraîneurs et de dirigeants. Ce club restera dans mes gènes pour la vie.
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L’interview de Guillaume Breault, responsable École de Rugby.
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